Ecoles parrainées au Bénin
Bienvenue au C.E.G SOCLOGBO de la commune de Dassa-Zoumé (Bénin)
système scolaire au Bénin
Le système scolaire béninois est assez comparable au système scolaire français, à quelques spécificités près. Voici un petit résumé du système scolaire béninois :
Le bénin bénéficie d’une qualité d’éducation délivrée à ses élèves très variable d'une région ou d'une ville à l'autre.
Le taux d’alphabétisation national est de 49 %.
Le système scolaire béninois suit un parcours éducatif assez similaire à celui que nous connaissons chez nous en France.
Avec des niveaux assez similaires du primaire au secondaire. Les programmes scolaires peuvent cependant varier. Notamment du privé au public. À noter qu’en République du Bénin, et c'est un point important, l’école n’est pas obligatoire pour les enfants.
Les familles peuvent en conséquence choisir entre envoyer leurs enfant à l'école ou les garder à la maison.
Notamment pour aider la famille dans les tâches domestiques ou intégrer directement les enfants dans le monde du travail. Ainsi, en 2023, 1,6 million d’enfants en âge d’être scolarisés vont à l’école, sur 2 millions d’enfants dans le pays.
La pauvreté du pays bien qu'en forte diminution, et ce grâce aux efforts contants du gouvernement qui prend le problème à coeur, a d’importantes conséquences sur le système éducatif béninois.
De même sur le potentiel économique freiné par un faible taux de jeunes gens pouvant accéder aux études supérieures, et ce malgré de notables et louables avancées de la part du gouvernement que nous remercions au nom des enfants et dévoués professeurs. Le gouvernement prend le problème à coeur, avec intérêt et beaucoup de sérieux. Certes, il y a des avancées mais les moyens manquent encore.
Vue d’ensemble du CEG de Dassa-Zoumé
Photos des honorables professeurs du CEG
Quelques classes d’élèves très motivés par les études
Et respectueux de la discipline
Monsieur Joseph de son prénom
Directeur honorable et professeur du CEG SOCLOGBO de la commune de Dassa-Zoumé
Ecole parrainée au Bénin - CEG SOCLOGBO de Dassa-Zoumé :
Monsieur Joseph de son prénom est Directeur et professeur.
Il est l'interlocuteur principal entre l'association Baobab du Savoir et le CEG SOCLOGBO de la commune de Dassa-Zoumé
Nous le remercions très vivement pour son écoute, sa participation et sa gentillesse au regard de notre projet associatif.
Monsieur Joseph assume non seulement le poste de directeur du CEG mais est aussi un professeur très impliqué dans son honorable et parfois difficile mission éducative.
Il est par ailleurs très soucieux des élèves les plus démunis qui peinent à s’équiper en matériel scolaire de base d’une part et d’autre part sur leur possibilité à pouvoir se nourrir correctement.
C'est pourquoi Monsieur Joseph est très heureux de collaborer avec Lievin, président de l'association Baobab du Savoir.
Grâce à votre aide, si petite soit-elle, nous espérons pouvoir remédier aux problèmes auxquels les professeurs de ce CEG doivent faire face.
En effet malgré certaines apparences trompeuses et même si le Bénin à procédé ces dernières années à des avancées très significatives en matière d'enseignement, qualité et équipement, la qualité est bien présente, bien au rendez-vous au travers l'excellente compétence des professeurs qui n'est plus à démontrer.
Cependant, les problèmes de base sont loin d'être solutionnés.
Il subsite un réel déficit matériel au sein des établissements scolaires et surtout en ce qui concerne l'objet de notre assiociation, un manque de moyen des familles à fournir à leurs enfants le "matériel scolaire minimum" et un repas.
- Nous entendons par cela :
- - les cahiers et stylos, tout simplement...
- - Un goûter et repas
- pour les plus démunis...
Cela peut nous sembler surprenant ?! Et pourtant c'est une réalité.
Un % non négligeable d'élèves, aussi volontaires et assidus que possible souffrent encore de ce manque de moyens essentiels afin d'envisager avec sérénité une journée scolaire paisible et instructive.
Professeurs du CEG Soclogbo de Dassa-Zoumé
Baobab du Savoir adresse toutes ses félicitations
Pour leur « professionnalisme scolaire et éducatif »
Cours dans une des classes du CEG Soclogbo
Professeur bienveillant
Des élèves bien conscients de la chance qu'ils ont de pouvoir étudier
Le Bénin bénéficie d’une qualité d’éducation délivrée à ses élèves très variable d'une région à l'autre, d'une ville à l'autres.
Le taux d’alphabétisation national est de 49 %.
En république du Bénin l'école n'est pas obligatoire pour les enfants.
La maternelle accueille généralement les enfants à partir de l’âge de 3 ans.
Les enfants rentrent en CP à l’âge de 6 ans et poursuivent leur scolarité jusqu’en Terminale.
Les différents examens au Bénin
Le brevet des collèges
Au Bénin, les élèves de 3ème passent eux aussi un examen final, appelé Brevet d’Études du Premier Cycle (BEPC).
Les épreuves sont générales pour tous les élèves, suite à la récente réforme introduite.
Le baccalauréat
Pour clore le cycle du lycée, les élèves béninois, à l’image de la France, passent le baccalauréat. Les épreuves peuvent cependant être différentes, notamment en ce qui concerne les spécialités ou les épreuves facultatives, en fonction de l’établissement fréquenté.
La moyenne de réussite au baccalauréat etait de 63,08 % en 2023.
Félicitons aux professeurs et élèves ! Ce qui est un bon résultat étant donné les faibles moyens dont disposent les établissements scolaires sans oublier, élément clef, le manque de moyens matériels et repas pour les enfants les plus démunis. Sachez qu'ils sont encore trop nombreux dans certaines régions du pays.
Tenues scolaire :
Vous l'aurez sans doute remarqué, les élèves béninois portent un uniforme du CP jusqu’à la Terminale. "Le kaki", comme l’évoque son nom, il s’agit d’un vêtement de fabrication en matière polyester ou en coton, de couleur kaki ou marron clair.
Les familles le font faire, comme pour beaucoup d'autres vêtements, sur mesure chez le tailleur du quartier. Cela reste un défi pour les familles à faibles revenus ! C'est pourquoi "le kaki " se transmet de frères et soeurs, d’une année à une autre.
Le kaki exprime pour les enfants béninois "le privilège d’un accès à l’éducation" et permet de gommer, en partie, les inégalités sociales devant l’institution scolaire.
De quoi faire des envieux dans certains pays occidentaux ou tout au moins les interroger sur cette excellente idée adoptée par le système éducatif béninois.
